e n’étais pas parti à Porto pour la photographie, aussi c’est avec un Samsung Note 4 et non avec mon appareil normal que j’ai fait ces photos. J’ai regretté mon Note 2 qui permettait de faire tout ce que je voulais grâce au mode ‘Manuel’ mais cela aurais pu être pire si j’avais eu un iPhone par exemple. Mais un bon conseil, en faisant 2 ou 3 photos là où j’en fais 1 (avec le Note2 et son mode manuel) on peut tromper le mode ‘auto’. L’idéal aurait bien sûr été mon matériel de photographe mais Porto sans les 15Kg sur le dos c’est bien aussi.

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Le photographe au même titre que le romancier est un Menteur compulsif*. Ses couleurs, ses ombres, ses lumières, ses points de fuites sont autant de mots, de virgules d’effets de styles. Il raconte une histoire ou plutôt des histoires, celles de celui qui est derrière l’appareil, parfois celles de celui qui regarde la photo et plus rarement le vrai sujet, ce qui est capturé (volé) dans l'objectif. A Porto le photographe s’efface derrière la ville, c’est Porto qui le promène ce n’est pas lui. Et quand le photographe regarde sa photo l’histoire qu’elle raconte n’est pas celle qu’il croyait.
*Pour les plus sceptiques je vous livre un secret. La belle histoire du petit John John, enfant blond, tout mignon, au garde à vous devant le passage du cercueil de son père JFK n’est que la banale histoire d’un enfant qui se protège les yeux des rayons du soleil .